Le Coche et la Mouche
Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé,
Et de tous les côtés au Soleil exposé,
Six forts chevaux tiraient un Coche.
Femmes, Moine, vieillards, tout était descendu.
L’attelage suait , soufflait , était rendu.
Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé,
Et de tous les côtés au Soleil exposé,
Six forts chevaux tiraient un Coche.
Femmes, Moine, vieillards, tout était descendu.
L’attelage suait , soufflait , était rendu.
La Mouche et la Fourmi contestaient de leur prix.
Ô Jupiter ! dit la première,
Faut-il que l’amour propre aveugle les esprits
D’une si terrible manière,
Qu’un vil et rampant animal
À la fille de l’air ose se dire égal ?
À son Altesse Sérénissime Monseigneur
le Prince de Conti
Comme les Dieux sont bons, ils veulent q
Un homme vit une Couleuvre.
Ah ! méchante, dit-il, je m’en vais faire une œuvre
Agréable à tou
À Monseigneur le duc de Bourgogne
Un Chat, contemporain d’un fort jeune Moineau,
Fut logé près