Le Lion abattu par l’homme
On exposait une peinture
Où l’artisan avait tracé
Un lion d’immense stature
On exposait une peinture
Où l’artisan avait tracé
Un lion d’immense stature
Un homme qui s’aimait sans avoir de rivaux,
Passait dans son esprit pour le plus beau du monde.
Il accusait toujours les miroirs d’être faux,
Vivant plus que content dans son erreur profonde.
Afin de le guérir, le sort officieux
Présentait partout à ses yeux
Un homme vit une Couleuvre.
Ah ! méchante, dit-il, je m’en vais faire une œuvre
Agréable à tout l’univers.
Un homme de moyen âge,
Et tirant sur le grison,
Jugea qu’il était saison
Par des voeux importuns nous fatiguons les Dieux,
Souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Il semble que le Ciel sur tous tant que nous sommes
Soit obligé d’avoir incessamment les yeux,
Et que le plus petit de la race mortelle,
À chaque pas qu’il fait, à chaque bagatelle,
Doive intriguer l’Olympe et tous ses citoyens,
Qui ne court après la Fortune ?
Je voudrais être en lieu d’où je pusse aisément
Contempler la foule importune
De ceux qui cherchent vainement
Cette fille du Sort, de royaume en royaume,
Les Levantins en leur légende
Disent qu’un certain Rat, las des soins d’ici-bas,
Dans un fromag
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Il ne faut point juger des gens sur l’apparence.
Le conseil en est bon ; mais il n’est pas nouve