Démocrite et les Abdéritains
Que j’ai toujours haï les pensées du vulgaire !
Qu’il me semble profane, injuste, et téméraire,
Mettant de faux milieux entre la chose et lui,
Que j’ai toujours haï les pensées du vulgaire !
Qu’il me semble profane, injuste, et téméraire,
Mettant de faux milieux entre la chose et lui,
Il ne se faut jamais moquer des misérables :
Car qui peut s’assurer d’être toujours heureux ?
Toute puissance est faible, à moins que d’être unie.
Écoutez là -dessus l’esclave de Phrygie.
Certaine fille, un peu trop fière
Prétendait trouver un mari
Jeune, bien fait et beau, d’agréab