Démocrite et les Abdéritains
Que j’ai toujours haï les pensées du vulgaire !
Qu’il me semble profane, injuste, et téméraire,
Mettant de faux milieux entre la chose et lui,
Que j’ai toujours haï les pensées du vulgaire !
Qu’il me semble profane, injuste, et téméraire,
Mettant de faux milieux entre la chose et lui,
Chacun a son défaut où toujours il revient :
Honte ni peur n’y remédie.
Sur ce propos, d’un c
Un animal cornu blessa de quelques coups
Le Lion, qui plein de courroux,
Pour ne plus tomber en la
Maître Corbeau sur un arbre perché,
Tenait en son bec un fromage.
Maître Renard par l’odeur a