Les deux Coqs
Deux Coqs vivaient en paix : une Poule survint,
Et voilà la guerre allumée.
Amour, tu perdis Troie ; et c’est de toi que vint
Deux Coqs vivaient en paix : une Poule survint,
Et voilà la guerre allumée.
Amour, tu perdis Troie ; et c’est de toi que vint
Parmi de certains Coqs, incivils, peu galants,
Toujours en noise, et turbulents,
Une Perdrix était nourrie.
Il est au Mogol des follets
Qui font office de valets,
Tiennent la maison propre, ont soin de l’é
Oh ! combien le péril enrichirait les Dieux,
Si nous nous souvenions des voeux qu’il nous fait f
À Monseigneur le duc de Bourgogne
Un Chat, contemporain d’un fort jeune Moineau,
Fut logé près