Démocrite et les Abdéritains
Que j’ai toujours haï les pensées du vulgaire !
Qu’il me semble profane, injuste, et téméraire,
Mettant de faux milieux entre la chose et lui,
Que j’ai toujours haï les pensées du vulgaire !
Qu’il me semble profane, injuste, et téméraire,
Mettant de faux milieux entre la chose et lui,
À Monseigneur le duc de Bourgogne
Un Chat, contemporain d’un fort jeune Moineau,
Fut logé près
Un amateur du jardinage,
Demi-bourgeois, demi-manant,
Possédait en certain village
Que j’ai toujours haï les pensées du vulgaire !
Qu’il me semble profane, injuste, et téméra